dimanche 25 avril 2010

L'inspiration est une drôle de bête

Bien évidemment que je n’ai qu’une seule et unique envie, celle de me vider le cœur et de vous parler de ce qui se passe dans mes semaines de 77 à 81 heures.
Bien évidement que le décompte petits et grands bonheurs versus les irritants est bien inégal.
Tout ça aurait pu être une expérience fascinante, un thrill of a life time …
Travailler fort ne me fait pas peur, y laisser un peu de mon dos et me faire une collection de poches sous les yeux ne me freine pas dans mes élans, dormir moins que la moyenne ne m’atteint presque pas si tout ça se fait dans la joie et la bonne humeur. Mais …

Le bruxisme est en train de me façonner une mâchoire plus carrée qu’à l’habitude et je me tâte à savoir si je n’aurais pas, par hasard, quelques talents en vaudouisme pour donner des crampes de mollets insupportables à ceux qui le mérite et je sais que partout dans le monde, que ce soit dans les tours à bureaux, les plateaux de tournages, les chantiers de constructions, les hôpitaux, les marchés, les navettes spatiales, ça ne prends qu’un seul fruit pourri pour gâter un panier complet et que trop souvent, personne n’aura envie de se salir les mains pour le retirer et ainsi éviter une bouillie informe qui laisse des odeurs fétides et des souvenirs troublants …
Engagez vous qu’ils disaient …
Endurez vous qu’ils disaient …

Le plus fabuleux dans tout ça c’est que je sais pertinemment que je travaille en ce moment sur un film qui en  deviendra un culte … Crimpuff que ça va être beau !

Encore plus faramineux est le merveilleux support des gens que j’aime autour de moi.
Je ne suis bonne dans ce que je fais que parce que je m’entoure des plus hots et des meilleures, c’est ma plus grande qualité !

Entre temps, je me lève et tout le monde dort, je reviens à la maison et tout le monde est déjà couché, en vrac, j’essais tant bien que mal d’avoir des news du monde la fin de semaine et je fais une surconsommation gargantuesque de Facebook et de Twitter le Dimanche pour savoir ce qui ce passe du côté de la blogosphère. J’ai manqué DJ Sneak au Stéréo, le joyau des DJ de Toronto et j’ai acheté son œuvre complète sur Itunes pour me venger de mon manque de vie de nightlife, je constate que le printemps s’installe du mieux qu’il peut en faisant exploser des bourgeons joyeux là où il peut, rempli les vitrines des magasins enorgueillies de couleurs criardes et voyantes, ce même printemps amène avec lui son lot de nouvelles tendances au genres un peu douteux à mon goût avec des relents de 90’s , des tailles hautes et des gros imprimés floraux filandrés or et argents … est-ce bien nécessaire ?

Mantra de la semaine :
« C’est pas parce que c’est à la mode que ça va bien à tout le monde »

Dans le même ordre d’idée, j’aimerais faire comprendre à la gente féminine fashionista et victimes de la mode que les COLLANTS BLANCS, OFFWHITE OU BEIGE C’EST JOLI SEULEMENT SUR LES PETITES HAÏTIENNES DE 6 ANS QUI VONT À LA MESSE LE DIMANCHE OU SUR LES BOUQUETIÈRES DE 10 ANS DANS LES MARIAGES ITALIENS !!!
Ça fait des grosses cuisses, des grosses chevilles et ça moule la cellulite ! C’est lette même sur Gisèle Bundchen !
Si il y avait une « Fashion police » vous auriez un ticket de 250.00$ et vous seriez en probation pour un an minimum pour polution visuelle agravée. Sachant que ces même demoiselles font surement parti du groupe qui juge sévèrement les hommes portant des bas blancs dans leurs chaussures, je me fais l’avocat du Diable et interdis le port de ce tue-l’amour par excellence qu’est le collant anyway !

Merci de m’avoir écouté …

2 commentaires:

Delphine Gélinas a dit…

...de toutes façon des collants, quelle horreur à porter! Toujours pognés dans' frouche!

vanessa a dit…

A MORT LE COLLANT! J'ai fait pleurer un enfant la dernière fois que j'en ai porté un!